A propos

Ce blog présente les divers papiers que j’ai eus la chance de publier et recense les interventions que j’ai eu la joie de faire dans quelques média. J’y propose également divers réactions / posts.

Bio rapide

Profession : Consultant, spécialiste de stratégie concurrentielle (partner chez Altermind)

Livre:  La France des opportunités, Ed. Les Belles Lettres, 2017 (LIEN)

Enseignements : Depuis 2008, à Sciences-po. Récemment, un séminaire sur la concurrence (master affaires publiques) et un atelier « contrôle des concentrations » (master droit économique)

Formation : Sciences-po (IEP Paris) – passage américain à U Penn, Universités Paris I et Paris V (droit), Ecole de formation du barreau

Expériences professionnelles : Altermind (partner), Autorité de la concurrence (rapporteur), Commission pour la libération de la croissance française (« Commission Attali », rapporteur), Comité des sages AFEP-MEDEF (rapporteur)

Editorial : chroniqueur pour L’Opinion, auparavant pour Atlantico. Publications dans Les Echos, Phébé – Le Point, Le Figaro, Le Monde, L’Expansion. Des radios (Europe 1, RMC, etc.). Des TVs (CNews, BFM Business, Public Sénat, Le Figaro Live etc.)

Think tanks :  Conseiller auprès de la Fondation pour l’innovation politique, responsable de Trop Libre ; Membre du Conseil scientifique de la Fondation pour l’innovation politique; Rapporteur de la Fondation Croissance responsable (depuis 2014); Rapporteur pour l’Institut Montaigne ; Rapporteur pour l’institut Thomas More

Groupes de travail publics : France 2022, Société civile 2017

Associations : ancien président d’Ambition Campus

 

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12 commentaires sur “A propos

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  1. J’ai eu connaissance de votre site via « Atlantico »

    Je me permets de vous transmettre un texte expliquant les raisons d’une opposition ferme au mariage gay.

    Cordialement ,

    G.T.

    Non au mariage gay et à la reconnaissance juridique de l’ homoparentalité.

    I. Le langage

    La normalophobie.

    L’habitude a été prise, depuis une douzaine d’années, d’utiliser systématiquement les termes d’homosexualité ou d’hétérosexualité, au point que personne ne parle plus d’orientation sexuelle normale ou d’orientation sexuelle déviante. Certains sympathisants de la cause homosexuelle refusent même l’emploi du terme « normal » quand il s’applique à la sexualité. Ils ne tolèrent pas que l’on puisse ainsi porter un jugement sur les orientations sexuelles ni, par conséquent, réfléchir sur le mariage gay et l’homoparentalité.

    Des mots précis.

    L’emploi d’un même terme pour désigner deux réalités différentes conduit à des confusions.
    On ne peut donner un même nom, en l’occurrence « couple » à l’union homosexuelle et à l’union hétérosexuelle. En effet l’union d’un homme et d’une femme est différente de l’union entre deux hommes ou entre deux femmes, à moins de considérer que l’homme est identique à la femme.
    L’homosexualité est une forme d’ intolérance à l’altérité sexuelle alors que l’hétérosexualité fait vivre la complémentarité sexuelle.
    L’utilisation d’un même terme, « couple » pour désigner deux réalités différentes, et même antagonistes, est anormale.
    A deux types d’unions différentes il faut donner des noms différents : « couple », comme on l’utilise depuis toujours pour les unions hétérosexuelles et, pour les unions homosexuelles, on peut préconiser le terme « paire » car cette union concerne deux personnes de sexe identique.
    Si le couple est composé de deux personnes c’est qu’il y a deux sexes différents. Le chiffre « 2 », en tant que tel, n’ouvre aucun droit. S’ agissant d’homosexuels, le sexe étant le même pour les deux personnes, cette reconnaissance juridique de la vie à deux n’offre pas plus de pertinence qu’une reconnaissance juridique de la vie à trois, quatre ou cinq.

    Toute confusion dans les termes entraîne une confusion dans la perception de ces deux réalités. Cette confusion peut amener à souhaiter un même régime juridique , en l’occurrence le mariage, pour des unions qui sont différentes.

    II. La loi et le mariage

    Avec le mariage la société reconnaît juridiquement l’importance de l’altérité sexuelle et lui rend hommage, en mariant par exemple des couples qui ne peuvent pas, ou plus, enfanter. La société sait que seule l’ union d’un homme et d’une femme permet potentiellement d’ assurer son avenir. Les hétérosexuels n’ont jamais eu besoin de réclamer un droit au mariage , car une telle possibilité est évidente depuis la nuit des temps.

    Le mariage n’a pas été créé pour permettre au législateur de remettre en cause la liberté individuelle en se préoccupant de sexualité récréative, homo ou hétéro, ni pour s’occuper d’amour. Le maire n’a d’ailleurs pas à demander aux futurs époux s’ils s’aiment ou non. Il ne leur demande pas non plus leur orientation sexuelle, cette dernière, quelle qu’elle soit, ne confère aucun droit. Le mariage est ouvert à tous. Il ne crée ni une injustice ni une discrimination envers les personnes qui sont incapables d’établir une relation complète avec le sexe opposé. Leur déviance de l’orientation sexuelle est la seule cause de leur incapacité à se marier.
    Si chaque individu peut librement se marier, est l’ égal des autres devant le mariage, l’union homosexuelle, elle, n’est pas égale à l’union hétérosexuelle. Seules des choses identiques peuvent être traitées d’une façon égale.

    Malgré le chantage à l’homophobie le législateur n’a pas à étendre le mariage à une union différente de celle pour lequel il est prévu, cela d’autant plus qu’ avec le mariage, le plus souvent, un tiers est concerné : l’enfant . Le législateur, par le mariage, propose un cadre au couple afin de l’aider à se stabiliser et protéger ainsi l’enfant né ou à naître.
    S’il est exact que des homosexuels peuvent avoir la charge d’enfants, la demande de reconnaissance juridique de l’homoparentalité comme une forme de paternité est inutile, l’enfant ayant un état civil et donc un régime juridique clair.

    III. L’enfant

    Une fraction du lobby homosexuel souhaiterait assimiler le couple avec enfant et une paire d ‘ homosexuels élevant un enfant. En effet l’apparence de ces derniers se rapproche de celle du couple normal. Les demandes d’accès au mariage et à l’adoption peuvent de ce fait apparaître parfois comme destinées à faire oublier le caractère spécifique de l’homosexualité. L’enfant deviendrait alors un moyen mis au service d’une cause qui n’est pas la sienne.
    Les maltraitances d’ enfants, quant à elles, doivent être sanctionnées si des parents sont indignes. Les enfants placés dans une famille d’adoption doivent y retrouver le père et la mère qui leur manquent. On ne doit pas utiliser le malheur de ces enfants afin de démontrer qu’ils seraient mieux dans une famille de deux hommes ou deux femmes que dans leur famille d’origine et les transformer ainsi en propagandiste obligés de l’homoparentalité. Quant à l’adoption par un célibataire elle devrait prioritairement permettre que des enfants puissent être adoptés par leur oncle, leur tante, ou un autre membre célibataire de sa propre famille.

    Faire croire à un enfant qu’il a deux papas est un mensonge.
    Faire croire à un enfants qu’il a deux mamans est choquant. Une mère est unique, biologiquement et moralement. C’est cette unicité qui crée le lien enfant-mère à nul autre comparable.

    La loi n’a pas à entériner toutes les situations de fait découlant du comportement de tel ou tel individu sauf à créer une règle par individu et par situation ce qui entraînerait la disparition de la notion même de droit. L’homosexualité a toujours existé, elle est admise par notre société. Ce comportement n’a cependant pas vocation à être à l’origine d’une modification de la législation sur le mariage.

    IV Non au mariage pour les gays

    L’union hétérosexuelle peut donner la vie, pas l’union homosexuelle. La première respecte l’altérité sexuelle, la seconde l’ignore. Les principes d’égalité, de non-discrimination, ne s’opposent pas à ce que le législateur règle de façon différentes des situations différentes.

    Le mariage pour les gays est un non-sens.

  2. Bonjour,
    Est-ce possible de vous contacter concernant la possibilité d’utiliser une image de votre blog ?
    Merci.
    Cordialement,
    Sylvain.

  3. Je viens ici pour réagir à votre article sur les MOOC publié sur Atlantico.
    Votre dogmatisme vous empêche visiblement de voir toutes les critiques et doutes qui ont été émis sur les MOOC ainsi que les enseignements elearning dans la presse et les universités US.

    Mais bon il est tellement facile d’écrire aujourd’hui un article à partir de ses aprioris et après avoir consulté une seule publication

    A toujours râler contre le soit disant immobilisme Français qui serait dû à libéralisme économique pas assez poussé et une trop grande participation de l’Etat est ridicule.

    Les MOOCs ont été lancés en 2012 et il a fallu attendre 2014 et une action étatique pour les voir apparaître en France …

    Comme le disait Einstein « Il est plus facile de briser un atome que de briser un préjugé »

  4. bonjour avez vous eventuellement un mail pour pouvoir échanger avec vous? merci
    cordialement
    bruno

  5. Bonjour, est-il possible d’accéder à l’adresse mail de M.le Noan? Merci

  6. Ce petit prétentieux de libéral qui sort des banalités éculées reprises par l’ensemble des chaînes d’info à la solde des financiers et qui osent donner des leçons aux Français qui souffrent non mais on rêve !!!le mieux c’est de vous taire car si vous avez pas encore compris qu personne ne vous croit ou ne vous suis dans vos analyses à 0 centimes d’euro c’est que vous êtes bien naïf mon pauvre !un conseil lève toi à 3 heures du matin et va bosser dans une usine petit malin et tu feras moins le malin sur les plateaux de télé !MDR

  7. Bonjour, Que pensez-vous de l’article 23 du RGPD qui autorise notamment le Législateur français à assouplir les obligations d’un responsable de traitement de données à caractère personnel, et à limiter les droits des personnes dites concernées, lorsque le traitement de données est nécessaire pour atteindre un objectif d’intérêt général important pour la France ou pour l’Union européenne, comme, par exemple, réduire les émissions de CO2 ?
    Et de la position du Gouvernement à ne pas s’être saisi de la possibilité que lui ouvre cet article 23, dans le cadre des travaux sur le projet de loi d’orientations des mobilités ?

    cdlt, FB

  8. Bonjour,

    à plusieurs occasions j’ai pu m’interroger sur la question de « l’impôt volontaire ».
    La crise Covid-19 relance ma réflexion.
    Comment faire un don au gouvernement ? comment le cibler ?
    et si impossible opérationnellement aujourd’hui, comment faire pour faire savoir au gouvernement de la volonté d’une personne de faire un impôt volontaire ?

    Je ne suis pas fan de faire une vidéo youtube, ou de faire un post Facebook. Je veux croire qu’il y a d’autres méthodes pour faire évoluer les pratiques.

    Je vous remercie
    Cordialement,
    Stéphane Maddens

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