Chronique du 30 mai
S’il était élu, Jean-Luc Mélenchon mettrait en œuvre une politique qui musellerait la liberté, sèmerait la zizanie plutôt que la fraternité et construirait un pays injuste et arbitraire au prétexte de réaliser arbitrairement l’égalité. Fort heureusement, cette éventualité n’arrivera probablement pas. En juin, la France ne conduira pas « une » élection, mais 577. Le leader de la France insoumise, plus audacieux par ses mots que face aux urnes, ne sera candidat à aucune et ses représentants ne l’emporteront pas dans la majorité des circonscriptions.
Cela étant, son groupe pourrait être le premier au Parlement, après la majorité présidentielle. A ce titre, il y sera fortement présent et pourra légitimement prétendre présider la Commission des finances, fonction qui revient à un député d’opposition…
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Photo by Michal Matlon on Unsplash
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