Chronique du 18 octobre, pour Les Echos
En janvier, le président de la République soulignait combien la crise sanitaire modifie les perspectives géostratégiques, alimentant les « peurs obsidionales », c’est-à-dire la crainte des peuples de se retrouver assiégés.
S’il existe un « monde d’après », il semble ainsi loin des solutions coopératives prônées quand a surgi le virus et se retrouve au contraire marqué par un discours vantant, sous des formes diverses, un nécessaire repli et la promotion des intérêts particuliers de chaque Nation.
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