Dans un long papier publié dans le Wall Street Journal, Niall Ferguson s’attaque aux mauvaises performances américaines en matière de facilité à faire du business. S’appuyant sur Doing Business ou le classement du WEF, l’auteur montre combien la complexité de la législation américaine est devenue un frein à la libre entreprise.
Selon Ferguson, cette complexité bénéficie aux « cronies », avocats et autres lobbyists.
Extrait :
Why is it getting harder to do business in America? Part of the answer is excessively complex legislation (…). Who benefits from the growth of complex and cumbersome regulation? The answer is: lawyers, not forgetting lobbyists and compliance departments. For complexity is not the friend of the little man. It is the friend of the deep pocket. It is the friend of cronyism.
En effet, comme vous, c’est bien ce passage-là de l’article que j’ai retenu avec, en plus, le passage où l’auteur parle du passage de la « rule of law » à la « rule of lawyers ». Est-il abusif de dire que le cas français est similaire ?…